Stéphane Brault, un homme de 51 ans, a été condamné le 19 décembre 2025 par le tribunal judiciaire de Lisieux à un an de prison ferme pour avoir conduit sous l'emprise de l'alcool pour la dixième fois. Cette décision intervient après son interpellation sur un parking, où il a été trouvé incapable de se tenir debout, suite à un incident survenu en plein après-midi alors que de nombreuses familles faisaient leurs courses pour les fêtes.
Le procureur de la République a souligné l’urgence de la situation, déclarant : « Être malade de l’alcool n’oblige pas à conduire ! » Cette phrase résonne comme un appel à la responsabilité, surtout dans un contexte où la sécurité des usagers de la route est primordiale.
Selon des statistiques récentes, l’alcool est la première cause des accidents mortels en France. Des experts en sécurité routière, comme ceux de l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM), affirment que les comportements à risque relatifs à l'alcool doivent être abordés de manière holistique. Ils préconisent un meilleur soutien pour les personnes souffrant d'addictions, souvent poussées à récidiver faute de traitements efficaces.
En outre, cette affaire soulève des interrogations sur les politiques de réhabilitation des conducteurs récidivistes. Comme le note un rapport du Ministère de l'Intérieur, « Une approche plus centrée sur les soins et l'éducation pourrait contribuer à réduire ces comportements à risque. »
Ce cas nous rappelle aussi l'importance des campagnes de sensibilisation sur les dangers de la conduite en état d'ivresse, notamment autour des périodes festives, où la consommation d'alcool augmente.







