Le 24 novembre 2025, la France se retrouve dans l’émoi face à une nouvelle tragédie : quatre féminicides ont été recensés en une semaine. Cette brutalité a suscité une vive réaction dans le pays, où des milliers de manifestants se rassemblent pour dénoncer la violence faite aux femmes. En effet, jusqu'à présent, 152 féminicides ont été comptabilisés cette année, un chiffre alarmant qui incite les collectifs féministes à intensifier leur lutte.
Pour répondre à cette situation, une députée a déposé une proposition de loi prévoyant un budget de 3 milliards d’euros pour la protection des femmes. Cependant, les associations pointent du doigt l'inefficacité des mesures déjà existantes, qui peinent à se mettre en œuvre. La colère des manifestants est palpable, et beaucoup appellent à une mobilisation massive pour faire entendre leur voix, comme l’a proposé le journal Le Monde.
Pendant ce temps, à l'international, un nouveau plan de paix pour l'Ukraine a été présenté, promettant le respect de la souveraineté de Kiev. Toutefois, les détails de cet accord demeurent flous, laissant place à l'incertitude alors que les combats avec la Russie continuent de faire rage. Les soldats ukrainiens expriment leur angoisse persistante : celle de ne jamais retrouver leurs proches.
En parallèle, des pêcheurs, confrontés à des problèmes économiques croissants, rapportent des tentatives de recrutement par des narcotrafiquants. Certains confessent avoir été approchés avec des promesses de gains financiers importants pour récupérer des cargaisons de drogue en mer. Bien que la majorité des pêcheurs refusent ces offres, la précarité les pousse à envisager des choix désespérés, comme le révèle une enquête du Figaro.
Ce 24 novembre, la France est en effervescence, balançant entre colère face aux féminicides et préoccupations géopolitiques. Un moment charnière qui interpelle et appelle à une réflexion collective sur la violence et la sécurité.







