Le 24 novembre, les États-Unis et l'Ukraine ont exprimé leur optimisme quant à un « futur accord de paix » destiné à mettre fin au conflit avec la Russie, insistant sur la nécessité de respecter intégralement la souveraineté de Kiev. La Maison Blanche a salué les pourparlers qui se déroulent en Suisse, qualifiant ces discussions de « pas en avant significatif » pour une résolution pacifique en Ukraine.
Ces échanges se sont tenus alors qu’un barrage de drone russe sur Kharkiv, la deuxième ville la plus peuplée d’Ukraine, a fait au moins quatre morts et blessé 17 personnes. Le maire de la ville, Ihor Terekhov, a indiqué que ces attaques représentent une violation flagrante des droits humains et une escalade tragique de la violence, comme rapporté par l’AFP.
Alors que les négociations progressent, des experts soulignent la complexité des discussions, avec des enjeux régionaux et globaux à prendre en compte. « La communauté internationale doit jouer un rôle actif pour garantir que tout accord respecte non seulement la souveraineté ukrainienne, mais aussi la sécurité de toute la région », a déclaré le politologue français Jean-Pierre Dubois lors d’une conférence à Paris.
Les espoirs de paix se heurtent à la dure réalité des pertes humaines, soulignant l’urgence d’un dialogue constructif. La situation à Kharkiv, avec des attaques répétées, illustre les défis persistants auxquels sont confrontés à la fois les négociateurs et les civils ukrainiens. Les yeux du monde demeurent fixés sur Genève, où l'on attend des résultats concrets des discussions.
Pour plus d'informations, consultez les analyses sur ce sujet dans Le Monde et Libération.







