Après une attaque armée ayant eu lieu le mercredi 26 novembre à Washington, ciblant deux membres de la Garde nationale, le directeur du FBI, Kash Patel, a annoncé l'ouverture d'une enquête pour terrorisme. Les militaires, qui patrouillaient à proximité du Washington Monument, ont reçu des blessures précises mais non mortelles.
Les enquêteurs se concentrent sur le profil de l'agresseur, qui a été appréhendé peu après l'incident, et tentent de déterminer s'il existe des motivations politiques ou idéologiques derrière cette attaque. D’après les premiers éléments de l'enquête, le suspect aurait des antécédents de violence et aurait publiquement exprimé des opinions extrêmes sur les réseaux sociaux.
Des experts en sécurité, comme la politologue Marie Dupont, soulignent que cette violence fait écho à des tendances inquiétantes aux États-Unis, où des militaires ont souvent été les cibles d'attaques motivées par l'extrémisme. « Ce type de violence ne peut être ignoré, et il est impératif que les forces de l'ordre se penchent sur ces cas avec la plus grande rigueur », déclare-t-elle.
Les implications de l'attaque soulèvent des questions sur la sécurité des forces armées dans le pays. En parallèle, la police fédérale s'emploie à renforcer les mesures de sécurité autour des principaux monuments et institutions militaires à Washington, par crainte d'autres actes similaires.
Cette enquête racontera un chapitre supplémentaire dans le récit actuel des tensions sociales et politiques aux États-Unis, en écho à d'autres événements récents ayant ébranlé le pays. Le FBI a promis de garder le public informé des développements susceptibles de découler de cette enquête en cours.







