Depuis le 6 mars 2025, l'agriculteur René Girault, âgé de 57 ans, est introuvable dans la région des Deux-Sèvres. Éleveur de bovins et de caprins, il n'a pas donné signe de vie depuis près de neuf mois, laissant ses proches dans l'angoisse et l'incertitude.
Sa famille espérait que la récolte et les activités de la ferme, située à Fomperron, apporteraient un certain réconfort, mais la douleur de son absence demeure insupportable. L'un de ses proches témoigne, anonymement : « Nous ne savons rien, absolument rien. Si René a décidé de disparaître, il est probable qu'on ne le retrouve jamais. Il connaissait parfaitement la région et aurait pu s'y perdre sans qu'on puisse le retrouver. »
Dans un contexte où les disparitions restent un sujet délicat, l'enquête se poursuit sans avancées majeures. Les gendarmes, mobilisés pour parler aux voisins et explorer les pistes, n'ont pas réussi à fournir de nouvelles informations. Selon France Info, l'inquiétude grandissante pousse la famille à espérer un appel, un message, ou même une simple piste.
Bien que l'angoisse soir omniprésente, la solidarité du clan familial semble se renforcer. Jérôme David, le neveu de René, continue d'exploiter la ferme familiale, s'investissant corps et âme dans la gestion de cette exploitation, qui représente l'héritage de toute une vie. « Il travaille sans relâche. C'est comme s'il essayait de compenser un vide qui n'a pas sa place ici », confie un ami proche. Dans cet océan d'incertitudes, la famille souhaite avant tout retrouver René, lui faire face, lui dire à quel point son absence est ressentie.
Cette histoire tragique met en lumière la réalité des disparitions en milieu rural, où l'isolement peut accentuer le drame vécu par les familles. Une expertise sociologique pointe du doigt l'impact émotionnel sur les proches, kmjtnnnquant à la santé mentale. Les jours passent, mais l'espoir ne faiblit jamais, et, tant que l'absence demeure, ceux qui attendent croient fermement qu'un jour, la vérité éclatera.







